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Les activités

  • Imaginer des systèmes de cacaoculture agroforestiers performants

    Les systèmes de cacaoculture sont évalués par plusieurs équipes du projet C4F en termes de services écosystémiques (approvisionnement, régulation et soutien) (©Cirad, Patrick Jagoret)
    Ces systèmes peuvent en effet présenter une grande hétérogénéité car, sur une même parcelle, les cacaoyers interagissent avec une multitude d’espèces végétales associées. Quels sont donc les effets de cette biodiversité associée en termes de production de cacao et de fourniture de services écologiques ? Différentes institutions de recherche (UFHB, ESA/INPHB, JRC, UNA, CRIG, Cirad, etc.) interviennent dans cet axe de travail en lien étroit avec des activités de Nitidae sur la transition de systèmes de cacaoculture en systèmes agroforestiers et biologiques, ou de Touton et Climate42 sur la réponse du cacaoyer à la sécheresse et à l’ombrage.

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  • Lutter contre le virus Cocoa Swollen Shoot (CCSV)

    Gonflements sur cacaoyer dus au virus du Cocoa Swollen Shoot (©Cirad, Christian Cilas)
    Cet axe de travail vise à identifier de nouvelles stratégies de lutte contre la maladie due au virus du Cocoa Swollen Shoot (CSSV) qui connaît, depuis le début des années 2000, une recrudescence en Côte d’Ivoire et menace désormais les principales zones de cacaoculture ouest-africaines. Mais, pour le moment, l’arrachage des cacaoyers infectés et de leurs voisins demeure la seule méthode de lutte efficace. Il est donc nécessaire de trouver une alternative. La diversification végétale et l’agroforesterie peuvent faire partie d’un nouvel éventail de stratégies de lutte. Plusieurs institutions de recherche (UFHB, CNRA, Cirad) sont impliquées dans cet axe de travail.

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  • Identifier des stratégies de résilience pour un nouvel équilibre économique

    Identifier les dynamiques en cours dans les exploitations cacaoyères, un des enjeux du projet C4F (©Griepe, Sabas Barima)
    En Côte d’Ivoire et au Ghana, la raréfaction des zones forestières, le changement climatique et l’expansion du virus du Cocoa Swollen Shoot (CSSV), associés aux problèmes fonciers récurrents, entraînent des changements écologiques et sociaux majeurs. Comment les cacaoculteurs réagissent-ils face à ces changements ? Quelles sont les dynamiques actuellement à l’œuvre dans les zones de cacaoculture ? Cet axe de travail est conduit par l’UJLoG (Daloa), l’Ecole d’agriculture de l’Université du Ghana, le Cirad et deux associations : l’Apdra et Nitidae.

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  • Booster la qualité au sein de la filière cacao

    L'effet des pratiques agroforestières et biologiques sur la qualité organoleptique du cacao est étudié dans le projet C4F (©Cirad, Patrick Jagoret)
    La qualité sensorielle du cacao jouant un rôle primordial dans les préférences alimentaires des consommateurs, plusieurs défauts de qualité aromatique sont reprochés au cacao ivoirien. Booster la qualité du cacao ouest-africain implique par ailleurs d’analyser les innovations organisationnelles susceptibles de valoriser ses attributs organoleptiques, mais aussi (et plus largement) ses attributs éthiques. Cet axe de travail est principalement conduit en Côte d’Ivoire et au Ghana par l’UNA, le CIRES et l’ISSER, l’ESA/INP-HB et le Cirad.

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  • Accompagner l’évolution des pratiques en s’appuyant sur les réseaux locaux

    @ Rideau, Imageo
    En Côte d’Ivoire et au Ghana, des réseaux sociotechniques locaux permettent aux cacaoculteurs de partager des connaissances utiles pour gérer leurs exploitations et leurs cacaoyères. Ces réseaux peuvent être mobilisés pour accompagner l’évolution des pratiques. Le projet Cocoa4Future contribuera ainsi à consolider l’éventail de références techniques mobilisables pour une transition vers des systèmes de cacaoculture agroforestiers durables, climato-intelligents et limitant l’avancée du CSSV. Les services d’appui-conseil aux agriculteurs valoriseront ces nouvelles références techniques. Cet axe de travail est principalement conduit par l’ESA/INP-HB et le Cirad, en synergie étroite avec les services d’appui du secteur public et du secteur privé impliqués dans le projet et disposant de structures d’appui-conseil.

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